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L'univers de Cassandra
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27 septembre 2012

Pluie

 

PLUIE

PLUIE

Odeur des pluies de mon enfance
Derniers soleils de la saison !
A sept ans comme il faisait bon,
Après d'ennuyeuses vacances,
Se retrouver dans sa maison !

La vieille classe de mon père,
Pleine de guêpes écrasées,
Sentait l'encre, le bois, la craie
Et ces merveilleuses poussières
Amassées par tout un été.

O temps charmant des brumes douces,
Des gibiers, des longs vols d'oiseaux,
Le vent souffle sous le préau,
Mais je tiens entre paume et pouce
Une rouge pomme à couteau.

René-Guy CADOU (1920 - 1951)

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25 septembre 2012

Un autre monde

Ces-mots-la

Un autre monde

Je vis dans un autre monde sans lendemain sans histoire,
Il était trop tard pour regretter, trop tard pour partir,
J'ai tant voulu construire ce mensonge sous leurs regards,
Faire croire que j'étais quelqu'un d'autre forte.

J'ai beau essayer de me battre contre les souvenirs,
Me tenir droit sourire pour paraitre si sage si calme,
Je tombe sans cesse, je pleure de toute mon âme, violée, aigrie,
Je ne regarde plus que l'horizon cet espoir caché quelque part.

Pour qui pour quoi devrais-je croire qu'il y a peut-être autre chose,
Un récit destiné, la chaleur des mains et deux cœurs, l'amour, le deuil.
Quand je reste là-bas trop longtemps je deviens une héroïne sans peur,
Sans faille de me voir mourir tout les jours.

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22 septembre 2012

gif d'amour reflet avec poème d'automne

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Poème d'Automne

 

Je me souviens de toi telle

 

Je me souviens de toi telle que tu étais en ce dernier automne:
un simple béret gris avec le cœur en paix.
Dans tes yeux combattaient les feux du crépuscule.
Et les feuilles tombaient sur les eaux de ton âme.


Enroulée à mes bras comme un volubilis,
les feuilles recueillaient ta voix lente et paisible.
Un bûcher de stupeur où ma soif se consume.
Douce jacinthe bleue qui se tord sur mon âme.

je sens tes yeux qui vont et l'automne est distant:
béret gris, cris d'oiseau, cœur où l'on est chez soi
et vers eux émigraient mes désirs si profonds
et mes baisers tombaient joyeux comme des braises.

Le ciel vu d'un bateau. Les champs vus des collines:
lumière, étang de paix, fumée, ton souvenir.
Au-delà de tes yeux brûlaient les crépuscules.
Sur ton âme tournaient les feuilles de l'automne.

20 septembre 2012

l'automne arrive à grand pas !

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L'automne

L'automne sur les ailes des oiseaux
couleur de feuille et de forêt qui meurt
une tendre rousseur
une braise qui s'avive
dans un lambeau de vent arraché à l'automne
et les ailes qui volent
avec les ailes délivrées.
Le temps s'achève dans un orage clair.
Un seul mouvement qui arrive
une seule liberté
feuilles et plumes fondues dans l'air
flammes qui descendent
envol sur les terrasses du soir.
Un seul envol d'automne et de cendres
une submergeante  lumière.

Jean MAMBRINO (1923- ...)

 

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4 septembre 2012

Savez-vous que vous êtes la pluie ?

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Savez-vous que vous êtes la pluie ?

Saviez-vous que vous dansez dans le soleil ?

Avez-vous essayé le chant des étoiles ?

Et avez-vous entendu chanter de nouveau ?

 

Vous avez la lumière des étoiles dans votre âme, vous savez

Les galaxies et les cieux sont dans nos yeux

Et votre cœur est aussi profond que le fond de l'océan

 

  Vous êtes aussi brillant que les étoiles qui brillent

Recherchez sur l'univers avec les yeux grands

Que les cieux vous remplissez avec étonnement

Laissez-vous consommé et complété

Avec les merveilles de notre univers

Parce que c'est tout ce qu'il ya, mes amis

Et nous sommes étoiles !!!

poeme étoile

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14 août 2012

Le château de L'espérance

Bientôt la fin

 

Le château de L'espérance.

 

Ta pâle chevelure ondoie
Parmi les parfums de ta peau
Comme folâtre un blanc drapeau
Dont la soie au soleil blondoie.

Las de battre dans les sanglots
L’air d’un tambour que l’eau défonce,
Mon cœur à son passé renonce
Et, déroulant ta tresse en flots,

Marche à l’assaut, monte, ou roule ivre
Par des marais de sang, afin
De planter ce drapeau d’or fin
Sur ce sombre château de cuivre

Où, larmoyant de nonchaloir,
L’Espérance rebrousse et lisse
Sans qu’un astre pâle jaillisse
La Nuit noire comme un chat noir.

 

Stéphane Mallarmé.

 

13 août 2012

L'emmuré

l'emmuré

un jour parce que la vie, ne te faisais plus envie
quand des hommes sont venus chez toi
tu n'as pas résister, tu avais perdu la foi
cette triste vie tu voulais l'a quitter, alors tu t'es laissé aller,
et lorsque pour te faire disparaitre dans une vieille maison ils t'ont emmuré
ton âme ne s'est pas révoltée........elle pensait pouvoir trouver le repos
mais ici non plus rien n'est beau et maintenant, elle veut s'envoler
vers l'endroit qui lui est destiné avec rage, elle veut écarter les murs
l'élargir comme une déchirure pourvoir enfin s'évader et disparaitre dans l'azur

12 août 2012

Par une nuit étoilée

1 étoile descend du ciel

Par une nuit étoilée,
juste éclairée
par une lune pleine et resplendissante 
j'étais là accoudée à mon balcon, languissante
réfléchissant à la vie qui passait,
juste là , l'esprit qui vagabondait
regardant devant moi
comme je me pris à avoir un peu froid
je suis allée me chercher une petite laine
et j'ai repris ma place sur le balcon sereine
cette fois ne pensant à rien
juste la, savourant le spectacle qui s'offrait à moi
toute cette beauté du soir
qui m'apaisait et me rendait espoir
j'étais bien
quand soudain
comme venu du firmament
une sorte d'étoile filante est arrivé jusqu' à moi
une lumière intense, mais pas aveuglante
et de cette étoile, un visage est apparue vers moi
un visage de toute beauté,
rempli de douceur et de bonté,
elle m'a simplement regardé
moi je n'ai pas bougé, j'étais troublée
nous sommes restées là, à nous regarder
pendant quelques instants mais qui pour moi m'ont semblé
être une éternité
et puis tout d'un coup elle est repartie
dans cette immensité elle est retournée
me laissant là le regard éblouit
elle ne m'a rien dit
aucune phrase n'a été prononcée
et pourtant j'ai compris
qu'il fallait que je crois en la vie
alors j'ai souris,
regardé une dernière fois cette nuit étoilée
et je suis allée me coucher
pour une fois le cœur en paix
et avec une telle sérénité 
que jusqu'ici je n'avais jamais éprouvé..............

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10 août 2012

MOI

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MOI

je me considère comme une personne sur qui on peut compter ,

bien que certaines personnes,  mal intentionnées vous diront le contraires

ces gents là je les ai zappé, car ce sont des gens mal sains,

si vous ne mettez pas de distances ils vous affecteront aussi,

je sais de quoi je parle, car si j'avais continuer à les fréquenter,

je serais moi aussi contaminée, mais j'ai réagi a temps !

il vaut mieux fréquenter des vrais amis (es)

la roue tourne et moi c'est dans le bon sens cette fois !

6 août 2012

Si j'étais une fée...

27 juillet 2012

ORAGE

orage

Ô ! que c’est bon après une chaude journée d’été,

Le ciel se couvre, de sentir l’orage arriver. 

Le vent secoue les arbres, souffle en rafale.

On se met à l’abri, un chat surpris détale. 

Ca tonne et ça éclaire ! La nature est en colère. 

Les premières grosses gouttes pètent par terre. 

Ô ! cette odeur de terre bactérisée, mouillée.

Maintenant ça pisse dru, c’est la rincée. 

Ah ! qui dira l’émotion de la pluie qui tombe ?

Averses, giboulées, grosses gouttes, petites bombes.

Et le vent et l’éclair et le ciel qui gronde.

Ainsi soient ils, peur et fascination m’inondent.

Que c’est beau, que c’est fort ce déchaînement !

L’eau ruisselle, je frissonne à ce déferlement ! 

Et déjà ça s’en va, un peu soulagé

Le ciel. Les toits dégouttent.

Je contemple les dégâts, pense à la rentrée. 

On est bientôt fin août.

Les pieds trempès, le coeur battant,

si le jeu, c'est à l'enjambe flaques.

Quoi ? la maman nous attend !

Gare à la volée de claques

auteur Wyczick fédéric

 

23 juillet 2012

à l'heure des contes !

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C'est la plus jeune Fée
Blonde et Blanche, de lys et de lilas coiffée,
Elle passe dans l'air
Ou, sur les romarins et sur les renoncules,
Le sillage argenté de son char minuscule
Laisse deux tourbillons d'éclairs
Elle passe, rapide au gré des vents épars,
Et les étang dressent leurs nénuphars,
Et les jardins tendent leurs roses,
Et les bois agitent leurs branches,
Pour qu'un instant elle s'y pose
et s'y balance !
Mais elle passe....
Car elle est si pressée, elle à tant à penser....
Mais elle passe,
Et dans le lointain de l'espace
Elle s'efface
Elle est passée........!


Fernand Gregh.

 

21 juillet 2012

Si j'étais une fée...

15 juillet 2012

Une fée...

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Une Fée

 

Quelle drôle d'idée...
C'est une histoire
Que je veux voir
Elle m'est apparue
Dans mon sommeil
Et elle a disparu 
A mon réveil.
Que me voulait-elle ?
Que je lui tende l'oreille ?
Mais je me souviens
De son grand chagrin
Et elle m'a dit
Je t'aimerai toute la vie.
Qui était-elle ?
Que me voulait-elle ?
Le matin...
j'avais perdu quelqu'un !
je n'ai cessé de pleurer
et je n'ai plus revu cette fée.

12

 

12 juillet 2012

Les colombes

LIVRE

Les colombes

 

Sur le coteau, là-bas où sont les tombes,
Un beau palmier, comme un panache vert,
Dresse sa tête, où le soir les colombes
Viennent nicher et se mettre à couvert.

Mais le matin elles quittent les branches ;
Comme un collier qui s'égrène, on les voit
S'éparpiller dans l'air

bleu, toutes blanches,
Et se poser plus loin sur quelque toit.

Mon âme est l'arbre où tous les soirs, comme elles,
De blancs essaims de folles visions
Tombent des cieux en palpitant des ailes,
Pour s'envoler dès les premiers rayons.

 

Théophile Gautier.

 

9 juillet 2012

je me cache, je me faufile...

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Je me cache, je me faufile, je disparais
Comme une sardine
je me confine à ma boîte
Gène, peur, humiliation
La Terre se retourne vers moi
Je veux seulement me liquéfier

Je souris, je ris, je m’amuse
Mais comme le renard
ce n’est qu’une ruse
Abandon, monotonie, peine
Mon cœur se déchire
Devant mon piteux avenir

Je me contente, je chante, j’improvise
Comme un jouet ,
c’est moi qui suis prise
Tristesse, chagrin, désespoir
Sans toi, mon loquet reste sans clé
Toi qui es parti, toi dont j’avais envie

 

6 juillet 2012

Si j'étais une fée...

5 juillet 2012

Il était une fois..

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 il était une fois a dix milles lieux d'ici,  au beau milieu de la forêt d'amour.

On peut y trouver trois petits lutins aux couleurs arc-en-ciel. Si l'on regarde au loin dans la forêt voisine,

se trouvent aussi les fées de la beauté. Les petits lutins règnent sur la forêt d'amour pour que

tous les amoureux se souviennent que le bonheur existe réellement.

Venez juste mettre un pied dans cette forêt et vous verrez le changement que votre cœur produit, de cette chaleur qui s'y dégage!

 Les lutins ont la magie de changer l'humeur maussade de chacun de nous en une belle écharpe d'Iris.

 Après ce passage dans ce pays des astucieux, vous n'aurez plus jamais de peine et vous aurez toujours le sourire.

 Et les fées vous me direz ? Ce qu'il faut dire sur ces petites enchanteresse de la beauté,

c'est quelles sont là pour que toutes les jeunes filles ainsi que toutes les femmes de ce monde, croient encore et toujours à la beauté intérieur.

Voilà toute l'histoire magique des lutins et des fées, pour que la magie règne à jamais dans le cosmos tout entier…

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4 juillet 2012

Garde un beau rêve ...

3 juillet 2012

Poème du jour !

BONJOUR (21)

Lundi, mardi,
Mercredi, Jeudi,
Tu me jettes à terre
Travaux, labour, esclavage

Vendredi, samedi
Dimanche, fin de semaine
Tu me remets sur pied
Repos, relâchement, lâcheté

Janvier, Février,
Mars, Avril,
Mes racines s’enfoncent
Vous me gelez, vous m’enfermez
Mai, juin,
Juillet, août,
Mon feuillage revient, je renais
Vous me réchauffez davantage
Vous me libérez

Septembre, octobre,
Novembre, décembre
Merde, tout recommence!

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