Par une nuit étoilée, juste éclairée par une lune pleine et resplendissante j'étais là accoudée à mon balcon, languissante réfléchissant à la vie qui passait, juste là , l'esprit qui vagabondait regardant devant moi comme je me pris à avoir un peu froid je suis allée me chercher une petite laine et j'ai repris ma place sur le balcon sereine cette fois ne pensant à rien juste la, savourant le spectacle qui s'offrait à moi toute cette beauté du soir qui m'apaisait et me rendait espoir j'étais bien quand soudain comme venu du firmament une sorte d'étoile filante est arrivé jusqu' à moi une lumière intense, mais pas aveuglante et de cette étoile, un visage est apparue vers moi un visage de toute beauté, rempli de douceur et de bonté, elle m'a simplement regardé moi je n'ai pas bougé, j'étais troublée nous sommes restées là, à nous regarder pendant quelques instants mais qui pour moi m'ont semblé être une éternité et puis tout d'un coup elle est repartie dans cette immensité elle est retournée me laissant là le regard éblouit elle ne m'a rien dit aucune phrase n'a été prononcée et pourtant j'ai compris qu'il fallait que je crois en la vie alors j'ai souris, regardé une dernière fois cette nuit étoilée et je suis allée me coucher pour une fois le cœur en paix et avec une telle sérénité que jusqu'ici je n'avais jamais éprouvé..............
Le blog c’est un peu le miroir Où mille vies se reflètent Où les mots jouent de leur pouvoir Sur la grande toile qu’est le net Le blog, c’est comme un planisphère L’esprit qui s’en va en voyage Mais qui n’a pour toute frontière Qu’un clic qui va de page en page
Le blog efface l’âge et l’espace Aucun mépris, fi de la couleur On est tous égaux, face à face Avec nos mots, nos maux, nos cœurs
Le blog a un gout de liberté Qui que l’on soit et d’où qu’on vienne La porte n’est jamais fermée Et personne qui nous retienne
Le blog, c’est aussi un endroit Où l’on se repose un instant Avant que la vie reprenne son droit Et son tourbillon incessant
A l’aube de l’Humanité, dans le désert africain, une tribu de primates subit les assauts répétés d’une bande rivale, qui lui dispute un point d’eau. La découverte d’un monolithe noir inspire au chef des singes assiégés un geste inédit et décisif. Brandissant un os, il passe à l’attaque et massacre ses adversaires. Le premier instrument est né. En 2001, quatre millions d’années plus tard, un vaisseau spatial évolue en orbite lunaire au rythme langoureux du « Beau Danube Bleu ». A son bord, le Dr. Heywood Floyd enquête secrètement sur la découverte d’un monolithe noir qui émet d’étranges signaux vers Jupiter. Dix-huit mois plus tard, les astronautes David Bowman et Frank Poole font route vers Jupiter à bord du Discovery. Les deux hommes vaquent sereinement à leurs tâches quotidiennes sous le contrôle de HAL 9000, un ordinateur exceptionnel doué d’intelligence et de parole. Cependant, HAL, sans doute plus humain que ses maîtres, commence à donner des signes d’inquiétude : à quoi rime cette mission et que risque-t-on de découvrir sur Jupiter ?
Le film comporte 4 parties : L’aube de l’humanité. Des vaisseaux dans l’espace. La mission Jupiter. Jupiter et au-delà de l’infini.
La première partie du film se situe à "l'Aube du temps : une bande d’Homo Sapiens lutte pour l’eau et la nourriture. Leur contact avec un monolithe d’origine extra-terrestre va ensemencer leur intelligence et démarrer leur évolution. C'est l'apprentissage de l'outil.
La deuxième partie du film se situe en l'an 2000. L'homme est alors civilisé et moderne et tente d'apprivoiser la vie dans l'espace. Une anomalie dans le champ magnétique de la Lune, l'amène à découvrir le 2eme monolithe qui pointe mystérieusement vers un satellite de Jupiter. C'est l'apprentissage de l'espace.
La troisième partie se passe en 2001 et problématise l'importance de la machine dans la vie de l'homme. En effet, deux astronautes, Bowman et Poole, et trois scientifiques tenus en hibernation par l'ordinateur ultra puissant Hall 9000, partent en mission vers Jupiter. Mais HAL manifeste sa volonté de puissance (il s'estime seul capable de mener à bien la mission) et sa paranoïa (il se débarrasse de tout obstacle à son dessein). La bataille de la machine contre l'homme a commencé, l'homme vient en quelque sorte de symboliquement mettre fin à son évolution. Il doit donc faire face à sa propre mort. C'est l'apprentissage de la mort.
La quatrième et dernière partie du film est beaucoup plus difficile à interpréter. Il faut lire 2001 : A Space Odyssey, 1968, le roman écrit en 1968 par Arthur C. Clarke pour comprendre qu’est décrit dans cette dernière partie le voyage de Bowman dans l’espace-temps et sa dématérialisation progressive pour rejoindre l’état de pur esprit qui caractérise le monde extra-terrestre qui veille sur le cosmos. C'est en quelque sorte une re-naissance (symbolisée par la scène du fœtus). C'est l'apprentissage de l'abandon du corps.
La force de 20001 est de confronter notre civilisation à une autre en préservant le mystère de cette rencontre. La structure en quatre parties est clairement scénarisée. Quatre apparitions du monolithe, quatre héros (primate, savant, ordinateur, fœtus en voie de transformation extra-terrestre) mais surtout les mêmes leitmotivs qui assurent la continuité de l'évolution humaine, la permanence sous les variations de la civilisation :
-Animalité primitive - naissance de l’homme - mort de l'homme - émergence du surhomme, qui, au moins dans le livre de Clarke, est destiné à rejoindre la communauté des extraterrestres.