Christine de John Carpenter de 1983
Christine
Auteur(s) : John Carpenter
Année de publication : 1983
Sujet
Arnie Cunningham est un jeune garçon qui n’existe pas aux yeux des autres, excepté à ceux de son ami Dennis. Souffre douleur dans son lycée, mal dans sa peau, sa seule passion consiste à restaurer une vieille voiture complètement rouillée, une Plymouth Fury 58, baptisée Christine. Mais bientôt, grâce à son travail acharné et à la stupéfaction de tout le monde, le véhicule reprend vie et roule ! Arnie devient plus sur de lui, il s’affirme. Seulement son nouveau comportement ne plait pas et une bande de voyous décide d’organiser des représailles. Christine en est la cible et est détruite lors d’un vandalisme. Mais comme par magie, l'automobile se reconstruit et entreprend de venger Arnie...
Christine animée d’une vie propre et d’un instinct meurtrier est là pour le protéger.
Gif Halloween et vidéo création minouchapassion
Ils vont s'empiffrer de bonbons ces terribles enfants,
Et pourtant c'est connu c'est mauvais pour leurs dents...
En Transylvanie il n'y en a pas télément,
C'est pour ca qu'ils sont si contents !
Mais que mangeront ces horribles sorcières ?
Des bonbons qui viennent tout droit de l'enfer ?
Elles les chaufferont avec leur cœur de pierre,
Bien cachées dans une tombe au fond de cimetière.
Et d'abord pourquoi il crie dans les rues,
La nuit les loups garous se transforment,
C'est la nuit ils ont la grande forme !
En train de siroter du vin chaud !
Destiné aux non-peureux (seuses)
Niark, Niark,Niark.....
gif Bonne nuit
Par une nuit étoilée,
juste éclairée
par une lune pleine et resplendissante
j'étais là accoudée à mon balcon, languissante
réfléchissant à la vie qui passait,
juste là , l'esprit qui vagabondait
regardant devant moi
comme je me pris à avoir un peu froid
je suis allée me chercher une petite laine
et j'ai repris ma place sur le balcon sereine
cette fois ne pensant à rien
juste la, savourant le spectacle qui s'offrait à moi
toute cette beauté du soir
qui m'apaisait et me rendait espoir
j'étais bien
quand soudain
comme venu du firmament
une sorte d'étoile filante est arrivé jusqu' à moi
une lumière intense, mais pas aveuglante
et de cette étoile, un visage est apparue vers moi
un visage de toute beauté,
rempli de douceur et de bonté,
elle m'a simplement regardé
moi je n'ai pas bougé, j'étais troublée
nous sommes restées là, à nous regarder
pendant quelques instants mais qui pour moi m'ont semblé
être une éternité
et puis tout d'un coup elle est repartie
dans cette immensité elle est retournée
me laissant là le regard éblouit
elle ne m'a rien dit
aucune phrase n'a été prononcée
et pourtant j'ai compris
qu'il fallait que je crois en la vie
alors j'ai souris,
regardé une dernière fois cette nuit étoilée
et je suis allée me coucher
pour une fois le cœur en paix
et avec une telle sérénité
que jusqu'ici je n'avais jamais éprouvé.......
LA MAGIE DE MARRAKECH..
LA MAGIE DE MARRAKECH
.
Marrakech, tout me plaît en toi Marrakech.....
J'aime tes parfums, mélanges de miel et d'encens
J'aime tes souks, ces lieux de rencontres..
Où se côtoient épices et tissus ,
marchands, touristes Et habitants
J'aime tes danseuses, filles de soleil et de lumière
Et dont l'âme s'envole sur quelques notes de musique ..
J'aime tes mots chantants,
ta langue qui m'est tres connue
J'aime ton écriture,..
cette calligraphie que j ai appris a lire
Mais qui me paraît si belle......
J'aime tes beaux monuments,
traces d'un passé à ne jamais oublier..
J'aime tes palmiers.. caressant le ciel bleu
,partant vers l'infini
Un coucher de soleil aurait suffi
Pour vous résumer toute cette magie..
Je voulais pourtant que mes mots
chantent la beauté marocaine
Et vous faire comprendre pourquoi
tout au fond De mon âme
Je suis Marocain..
.
Les oiseaux d'Alfred Hitchcock
Les Oiseaux
Titre original : The Birds
Année : 1963
Durée : 1h53
Réalisation : Alfred Hitchcock
Avec : Tippi Hedren, Rod Taylor, Suzanne Pleshette
Interdit aux - 12 ans
Les Oiseaux, c’est d’abord une nouvelle de Daphné du Maurier, parue en 1952 dans un recueil intitulé The Birds and other stories, nouvelle d’environ cinquante pages dont l’action se déroule sur une île britannique, peu de temps après la seconde guerre mondiale. Les habitants de l’île, dont l’ouvrier agricole Nat Hocken et sa famille, sont la cible d’attaques organisées d’oiseaux de toutes sortes.
Alfred Hitchcock est fasciné par cette histoire, d’autant plus que peu de temps après l’avoir lue, il découvre, dans la presse américaine, le récit de véritables « accidents « impliquant des oiseaux. Cependant cette nouvelle, ne fournit pas suffisamment de matière pour un long-métrage, il fait donc appel à l’écrivain Evan Hunter pour étoffer l’histoire. Le metteur en scène ne veut conserver que le titre et l’idée de base. Les personnages du film n’auront rien à voir avec ceux créés par Daphné du Maurier et seront nettement plus nombreux. L’action se déroulera en Californie au lieu des îles britanniques.
Le scénario : Melanie Daniels, une belle et riche jeune femme de San Francisco rencontre l’avocat Mitch Brenner chez un marchand d’oiseaux. Il fait semblant de la prendre pour une employée. Le lendemain matin, Melanie se rend à l’appartement de Mitch avec un couple d’inséparables qu’il doit offrir à sa petite sœur, mais il est parti pour le week-end à Bodega Bay. Elle décide d’aller là-bas en voiture, pour livrer les oiseaux. Sur place, elle loue un bateau pour déposer discrètement la cage à la ferme des Brenner mais une mouette fonce sur elle. Mitch assiste à l’attaque, la soigne, puis l’invite à dîner ; elle accepte et décide de rester. Elle loue une chambre pour la nuit chez l’institutrice. Dehors, les fils télégraphiques sont couverts d’oiseaux. Chez l’institutrice, une mouette s’écrase contre la porte. Le dimanche, des enfants jouent quand, soudain, des mouettes piquent droit sur eux. La panique s’installe. Les adultes font rentrer tout le monde à l’abri. Le soir, alors que Melanie dîne chez les Brenner, des moineaux en grand nombre font irruption par la cheminée. Ils envahissent la pièce, volettent et piaillent ; tandis que les femmes tentent de se protéger, Mitch essaie, sans grand succès de faire fuir les oiseaux. Le matin, le voisin est retrouvé mort, les yeux atrocement becquetés. Devant l’école, des corbeaux se rassemblent. Craignant une attaque, on fait sortir les enfants en leur demandant de courir s’abriter en ville. Les oiseaux prennent leur vol et attaquent les enfants qui s’enfuient en hurlant. Après cette agression, les oiseaux s’en vont. Plus tard, un pompiste est attaqué par une mouette et a lieu une nouvelle attaque d’oiseaux. Melanie trouve refuge dans une cabine téléphonique, elle est sauvée par Mitch, qui la ramène dans le restaurant où se trouve un groupe de femmes rassemblées loin des fenêtres. Une mère accuse Melanie d’avoir causé cette malédiction à la ville. Une nouvelle attaque brutale et violente survient. Elle cesse aussi soudainement. Tôt le lendemain matin, Melanie, seule éveillée, entend un bruit et découvre un trou dans le toit. Des dizaines d’oiseaux l’assaillent, elle s’effondre bloquant la porte. Mitch la sauve à nouveau. Sérieusement blessée, elle doit être conduite à l’hôpital, Mitch parvient à atteindre le garage, à sortir la voiture et à la garer devant la porte d’entrée pour emmener sa mère, sa sœur et Mélanie loin de Bodega Bay. Tous quatre réussissent à s’installer dans la voiture… avec les inséparables. La voiture s’éloigne très lentement, parmi des milliers d’oiseaux massés partout sur le sol et les bâtiments.
Pas de mot « Fin » à l’écran. Imaginez celle que vous voulez.
Les sirènes chantaient...
Une harpe d'amour soupirait, infinie :
Et la mer, déroulant ses vagues d'harmonie
Etendait son linceul bleu sur les matelots,
Les sirènes chantaient... Mais le temps est passé
Des beaux trépas cueillis en les Syrtes sereines.
Où l'ont pouvait mourir aux lèvres des Sirènes,
Et pour jamais dormir sur son rêve enlacé.