Présentation de mon blog 2
Entrez dans ma demeure
comme si vous plongiez dans un livre,
des écrits, pleins d'images, de gifs, des poèmes
des vidéos, des créations.....
laissez-vous imprégner par chacune,
certes c'est un conte de fées
un peu défait me direz-vous,
qu'il faut regarder de l'intérieur
avec toute la profondeur de l'âme,
ici c'est ma passion que je partage
avec tous ceux qui aime la féerie.
BONNE VISITE
REVER
Quand tu vois une étoile scintiller
Ton désir sera réalisé
Les rêves sont fait de bonheur
Je t'accorde ton souhait
Sens ton corps flotter
Doucement dans le ciel
La lune et les étoiles se hautes
Lors de ton passage
Le ciel est rempli de merveilles
A toi de les voir
Les rêves ne s'effacent jamais
Ils sont éternels
Le cœur est rempli de beauté
L'âme est remplie d'amour
Regarde ton étoile briller
Sens la douce chaleur s'immiscer en toi
Sens cette brise tomber en cascade
Celle qui suit tes mouvements
Tes rêves de demain
Aujourd'hui sont réalités
Repose toi devant toute cette beauté
Et quand tu sortiras de ton sommeil
Le soleil aura un tel éclat
Que tes yeux seront remplis d'étoiles.
REFLET DANS LE MIROIR
LE REFLET...
Hééé, toi qui passe par là!
Fais comme la fée des bois,
assied-toi paisiblement
et prend un peu de temps pour toi...
"Regarde le reflet dans ce miroir,
regarde la limpidité de cette cascade,
Dis moi donc ce que tu y vois??
Toute la beauté qui se reflète là!
La vie n'est qu'un conte "de faits"
Qu'il nous faut surmonter...
Quelques en soient les embûches,
il faut aller de l'avant,
car jamais fée n'a faiblie
et toujours bon chemin elle pris!"
C'est pourquoi j'aime à te le dire,
crois en toi et en ce que tu vois
car le plus beau reflet que tu auras
c'est celui que tu donnes de TOI !!!
LE CHANT DE L'OISEAU
Venez me voir...bonne visite !
PETIT PRINCE D'AUTOMNE
Je garde les bras ouverts
pour Toi
Petit Prince d'Automne,
Je garde les bras ouverts
pour te serrer contre Moi
lorsque le vent fou tourbillonne,
Je garde les bras ouverts
pour lui, ce futur Roi
qui de mon cœur fera son trône,
Je garde les bras ouverts
et j'attend de surcroît
que son Amour enfin il me donne!!!
AU BOUT DE LA PLUME
Au bout de la plume
Il y a une fée attristée
Qui s'enfonce dans la blanche écume
L'esprit très perturbé...
Son âme ère sans but
L'être aimé elle a perdu
Un mois d'automne ou bien d'été
En tous cas c'est du passé...
Sa solitude l'étouffe
Aux nuits passées dans un gouffre
Ses ailes sont froissées
Que faire pour s'envoler...
Où est-il donc le laid crapaud
Qui lui donnera "bécot"
Viendra-t-il un beau jour
remplir à nouveau
son petit cœur d'Amour ???
LES LUTINS
Le sens du temps, au large des berges, juste pour baguenauder sans avoir de compte à rendre, de ligne à suivre.
L’âge est venu de ne plus espérer quelque rabibochage factice. Les affections châtelaines des deux décennies quatre-vingts ont tourné court suite aux tentatives d’un contact rétabli. Prétextes pour l’embourbement : ma défense du traité constitutionnel européen pour la première, ma complaisance à l’égard de la tauromachie pour la seconde.
En réalité, une détestation de ma façon d’être en écriture, de l’emphase à l’amphigouri et, comble de l’ignominie, de l’influence micberthienne qui imprègnerait encore mes textes. Si leur vieux parâtre tombe là-dessus, ça devrait le faire rire un peu… Je reste, à ce jour, le seul ex très proche à avoir diffusé sur le Net un article sans ambigüité sur ma rupture idéologique avec lui.
Grande leçon pour moi, le récidiviste : ne jamais tenter de faire renaître des liens distendus puis disparus.
Les résurrections ne valent que pour les fables religieuses.
« Clap dernière ! » : ainsi je titrais mon dernier courriel à celle qui renâclait au débat…
Crime de lèse-passé que je puisse défendre le dessein européen.
Du lien fraternel, on s’en fait un monument inaltérable : en l’espèce une pissée sans envergure.
Pour l’autre, on innove : condescendance victimaire ! L’odieuse faute qui fait de moi l’infréquentable, l’inique suffisant, le dérangeur d’une douce existence : avoir relaté, avec un mauvais tour littéraire et sans la dénoncer, ma première tauromachie.
Résumons l’offense : ne pas s’aligner sur le substrat de leur pensée discrédite tout élan du cœur.
Encaisser leurs positions et surtout cesser d’écrire, ah oui ! Ça, avant tout ! Que je poursuive un Journal commencé en 1991 alors que nous étions en dévotion affichée pour ce père de cœur ou de sang, quelle suspecte attitude !
Forcené, je suis, dans l’erreur magistrale de voie… Le degré infâme de l’expression écrite, sans aucun écho médiatique, jamais publié par un « vrai » éditeur, une déjection en somme !
Supériorité que ces obscures doivent admettre : mon autocritique ne sera jamais dépassée par leurs attaques essoufflées.
Qu’elles s’en convainquent aussi : rien, de mon vivant, ne me détournera de l’écrit, d’aiguiser mes indignations, de transcender enthousiasmes et perditions par l’entrechoc sémantique, d'élargir la palette des mots pour tutoyer ce qui rumine en soi. Insatisfait, toujours, mais sans la facilité du renoncement. J’anime ces lignes à pleine plume et j’assume les influences diffuses…
Rien à cacher, tout à dévoiler, au moment que j’estimerai opportun, sur une toile accueillante pour démultiplier l’écrit bien placé… Prêt pour le témoignage tous azimuts et sans retenue de style.
Abruptes notations sur le vif qui se dispenseront du tiède, du frileux, de l’engoncé.
Non loin de moi, sur ces berges du Rhône, trois enfants de six ou sept ans s’amusent dans l’insouciance aux ingénieux jeux d’eau : rires partagés, étonnement complice, surenchères pour entretenir la symbiose du trio improvisé… Quelle illusion !