LA LICORNE
Définition : La licorne (parfois nommée unicorne), est une créature légendaire généralement décrite comme proche
du cheval et de la chèvre, de couleur blanche, et avec une corne spiralée et pointue au milieu du front
Etymologie : La licorne est nommée "monokeros", en grec ancien, qui signifie "avec une seule corne".
Ce nom à l'italien "alicorno", lui-même une forme altérée du latin chrétien "unicornis" signifiant également "à une seule corne".
Le Mythe : La croyance en l'existence de la licorne fut discutée jusqu'au milieu du XIXème siècle et de tous temps.
Cette créature intéressa des théologiens, médecins, naturalistes, poètes, gens de lettres, ésotéristes, alchimistes?
symbolistes et historiens.
Aujourd'hui, la licorne est une créature légendaire parmi les plus typiques et les plus connues du domaine de la Fantasy, de nombreux travaux d'érudits et des œuvres de fiction lui étant entièrement consacrés. Des variantes existent quant à l'oriine exacte de la licorne. Petite Histoire : La licorne est mentionnée depuis l’Antiquité Grecque, sous le nom de "monocéros"
Elle devint l'animal imaginaire le plus important du Moyen-Age à la Renaissance, que ce soit dans l’iconographie des bestiaires médiévaux qui la décrivent comme un animal sylvestre très féroce, symbole de pureté et de grâce, que seule une vierge peut capturer, ou dans les encyclopédies où sa corne possède le pouvoir de purifier l'eau de tout poison et de guérir les maladies. La licorne blanche telle que nous la connaissons est une créature chimérique légendaire et non pas un mythe car elle n'est pas liée à la création du monde, à des gestes héroïques ou la fondation d'une ville, mais le résultat d'un mélange entre tradition orale et écrite, récits de voyage et description des naturalistes
• La Licorne Chinoise :
• La Licorne, en Perse et en Inde
• La Licorne en Grèce Antique :
Le plus ancien texte de la littérature occidentale qui évoque la licorne date de la fin du Vème siècle avant J.C. et est dû au médecin grec Ctésias, qui résida dix-sept ans à la cour de Perse de Darius II et Artaxerxès II. À son retour en Grèce, il rédigea une Histoire de l'Inde nommée "Indica", ou des fragments de cette œuvre décrivent parmi les peuples et animaux fabuleux de l'Inde : "des ânes sauvages de la grandeur des chevaux, et même de plus grands encore. Ils ont le corps blanc, la tête couleur de pourpre, les yeux bleuâtres, une corne au front longue d'une coudée.[…]. Ceux qui s'en servent ne sont sujets ni aux convulsions, ni à l'épilepsie, ni à être empoisonnés, pourvu qu'avant de prendre du poison, ou qu'après en avoir pris, ils boivent dans ces vases de l'eau, du vin, ou d'une autre liqueur quelconque. […]".
• La Licorne Européenne : La licorne européenne a connu de nombreuses transformations avant de prendre la figure que nous lui connaissons, celle de "la cavale blanche de forme très parfaite" avec une corne droite et spiralée, des sabots de chèvre et une barbiche de bouc.
J'avais devant les yeux les ténèbres
J’avais devant les yeux les ténèbres
L’abîme qui n’a pas de rivage et qui n’a pas de cime,
était là, morne, immense ; et rien n’y remuait.
Au fond, à travers l’ombre, impénétrable voile, je m’écriais :
« Mon âme, ô mon âme ! il faudrait, pour traverser ce gouffre,
où nul bord n’apparaît, et pour qu’en cette nuit jusqu’à ton Dieu tu marches,
bâtir un pont géant sur des millions d’arches.
Qui le pourra jamais ? Personne ! ô deuil ! effroi ! pleure ! »
Un fantôme blanc se dressa devant moi
et ce fantôme avait la forme d’une larme ;
c’était un front de vierge avec des mains d’enfants :
il ressemblait au lys que la blancheur défend :
ses mains en se joignant faisaient de la lumière.
Il me montra l’abîme où va toute poussière,
si profond que jamais un écho n’y répond ;
et me dit : « si tu veux je bâtirai le pont ».
Vers ce pâle inconnu je levais ma paupière.
Quel est ton nom ? lui dis-je. Il le dit : 'la prière'.
(Un pont géant - Victor Hugo - Poème écrit lors du décès de sa fille)
Nuit
NUIT
J'adore ton calme et ta douceur, tes étoiles brillantes dans le ciel !
- Nuit qui me calme et qui me rassure partout où que je sois malgré mes angoisses lugubres et envahissantes...et qui calment "mes démons"...
-Nuit qui m'apporte réconfort, amour, tendresse, malgré tout ce que je ressens, je te préfère car , tu es pour Moi, plus douce que tu ne le penses véritablement! Tu m'apaises personnellement et je suis bien dans Ta Nuit, dans Ma nuit et ma bulle....
-Nuit! Tu m'apaises , tu me soutiens car tu sais TOUT TOI et tu as toujours été là pour moi, heureusement!
- Nuit! Encore un petit mot: bonne nuit comme je le dis toujours aussi à mes petits enfants que j'adore : bonne nuit les étoiles, bonne nuit la lune, bonne nuit le vent, bonne nuit les vilains nuages pour la pluie, mais il en faut pour Notre Planète, bonne nuit pour tout ce que tu nous prépares pour demain, la prochaine nuit!
Bonne Nuit la Nuit et à demain..
L'enchantement
L'enchantement.
Dans la forêt du charme et des merveilleux rites,
Gnomes compatissants, pendant que je dormais,
De votre main, honnêtes gnomes, vous m'offrîtes
Un sceptre d'or, hélas ! pendant que je dormais.
J'ai su depuis ce temps que c'est mirage et leurre
Les sceptres d'or et les chansons dans la forêt;
Pourtant, comme un enfant crédule, je les pleure,
Et je voudrais dormir encor dans la forêt.
Qu'importe si je sais que c'est mirage et leurre !
La Licorne
La licorne ne peut être capturée
qu’entre les genoux d’une demoiselle
son œil est une pierre précieuse
qu’on nomme escarboucle et qui est tendre
L’escarboucle est une pierre précieuse tendre et rare
dans l’œil de la licorne d’où tombe une larme
qui mouille la robe de la demoiselle
qui vient de l’emprisonner
Cela se passe dans un pré
au milieu du Moyen Age
les nuages sont des coussins
d’où descendent des épées d’or
ce sont les regards du soleil qui regarde
la capture de la licorne.
Jacques Roubaud
***
A la tombée du jour...
A la tombée du jour, lorsque la nuit prend son tour,
Le monde s'endort, jusqu'au lever du jour.
Les étoiles illuminent alors le ciel, une à une.
Le soleil s'est couché, laissant la place à la lune.
Dans la sérénité, les oiseaux ont cessé de chanter.
Les lapins dans leurs terriers, se sont cachés.
On entend parfois sous les toits, le vent souffler.
La vie retient son souffle, pas de doute, la nuit es tombée.
Cet instant magique, où le rêve est permis.
Deux êtres enlacés, qui se sont endormis
Une mère qui berce son enfant, jusqu'à minuit.
La chouette qui, au contraire, sort de son nid.
Mystérieuse nuit, tu mènes le monde à l'envers.
Un être s'endort, un autre s'éveille.
Si le jour nous éclaire, toi tu éteins la terre.
Nous offrant pourtant, d'autres merveilles.
Dans le silence de ton ciel étoilé,
Douce nuit, tu nous permets de rêver.
Oubliant ainsi, le temps d'une nuit,
Tous nos soucis
Au bout de la plume...
Au bout de la plume
Il y a une fée attristée
Qui s'enfonce dans la blanche écume
L'esprit très perturbé...
Son âme ère sans but
L'être aimé elle a perdu
Un mois d'automne ou bien d'été
En tous cas c'est du passé...
Sa solitude l'étouffe
Aux nuits passées dans un gouffre
Ses ailes sont froissées
Que faire pour s'envoler...
Où est-il donc le laid crapaud
Qui lui donnera "bécot"
Viendra-t-il un beau jour
remplir à nouveau
son petit cœur d'Amour ???
Le Chemin de la tendresse
Le Chemin de la tendresse
« Prend ma main. Ne la lâche pas. J’écouterai ce que tu veux me dire.
Si tu préfères te taire, j’entendrai ton silence. Si tu ris, je rirai avec toi, mais jamais de toi…
Si tu es triste, j’essayerai de te consoler. Je ferai pour toi des bouquets de soleil.
J’allumerai des feux de joie là où chacun ne voyait plus que des cendres.
Si je n’ai qu’une rose, je te la donnerai. Si je n’ai qu’un chardon, je le garderai pour moi.
Je te donnerai ce qui te plaît, ce qui te rassure le plus si je le possède.
Si je ne le possède pas, j’essayerai de l’acquérir.
Donne-moi la main. Nous irons où tu voudras. Je te ferai entendre la musique que j’aime.
Si tu ne l’aimes pas, j’écouterai la tienne…
J’essaierai de l’aimer !
Je t’apprendrai ce que je sais. C’est peu. Tu m’apprendras ce que tu sais. C’est beaucoup.
Ne dis pas que tu ne sais rien : cela n’existe pas, quelqu’un qui ne sait rien… ou alors, si cela existe, tant mieux car ce serait quelqu’un comme un jardin sauvage, un jardin à naître où l’on peut rêver mille jardins… comme… comme un enfant à venir, un enfant espéré : ce serait la vie devant soi, ronde, inattaquée, comme une boule de Noël.
Prend ma main. Cinq doigts refermés autour des nôtres, c’est le plus beau cadeau du monde.
Cela nous préserve de la peur, de l’abandon, du doute. Une main offerte, c’est un monde nouveau.
Tu es toi. Je suis ce que je suis. Je ne troublerai pas ta musique intérieure.
Je ne me blesserai pas de tes silences. Tu respecteras les miens.
Je ne t’assassinerai pas de “pourquoi ?”.
Tu ne diras pas que je fais des fausses notes si je ne pense pas comme toi…
Donne-moi la main. Nous irons avec la vie, comme le sable, le temps et l’eau :
entre source et delta.
Différents et si proches à la fois… »
Tout autour de son corps....
Tout autour de son corps, la coquille de fer
Protège ses émois auprès de tout compère.
Son image est blindée sous cette carapace ;
Elle peut déprimer sans aucune menace…
Tout au fond de son corps, la coquille de pierre
Pour « oublier » les maux, le cœur de ses prières.
Ses pensées sont glacées, ses sentiments gelés
En léthargie totale, pour mieux se protéger…
Mais juste une fissure brise là les coquilles
Tuant les carapaces, loin de toute béquille.
Les larmes en éruption coulent en effusion,
Et l’angoisse apparaît, faussant les illusions…
Tel un pauvre mollusque, perdu sans sa coquille,
L’agonie est bien là, loin d’un soleil qui brille.
La chute des coquilles étant dévastatrice,
Elle veut reconstruire ses armures protectrices…
Je remercie mes amis (es) et visiteurs pour leurs passage 30 000 à ce jour grâce à vous !
Le feu par Minouchapassion
Le feu
Il est plaisant de le regarder
Il fait la joie des enfants
Qui ne voient pas le danger qu'il crée
Avec ce Maître des ténèbres
S'il nous entraîne
Dans ces flammes
Il ne fera aucune différence
entre les riches et les pauvres
Contemplé les flammes dansante
Ont le prendrait bien volontiers
Pour un excellent artiste
Au mille couleurs
Minouchapassion